
Réagissant aux propos diffamatoires et dénigrants proférés, le 25 août 2021, par le traître Hichem Aboud à l’encontre du ministre des Affaires étrangères de la République Algérienne, M. Ramtane Lamamra, Maghreb Part, publie ci-après, une contribution élaborée par M. Mohamed Arezki Aberkane, Industriel et PDG de Sogemetal, dans laquelle il recadre magistralement ce mercenaire, qui agissait, sans aucun doute, aux ordres de ses manipulateurs du Makhzen, et défend, avec honnêteté, le Chef de la diplomatie algérienne, mettant en avant ses qualités humaines et professionnelles, au service de l’Algérie, tout en dévoilant, à l’opinion publique, les tenants et aboutissants de cette campagne visant la tête de la diplomatie algérienne, en ces moments cruciaux pour le pays.
Monsieur Hichem Aboud, Très franchement, prendre la décision de vous interpeller fut un choix lourdement cornélien et pesant pour ma conscience. Associer ma sévère plume à la vertu de la sagesse en fut tout autant. A savoir dégringoler subitement à votre pitoyable niveau. Puis, je me suis aperçu que sauver l’honneur de mon ami passe avant mon orgueil ou le risque d’être critiqué. C’est alors que je me résigne à assumer mon devoir et ma détermination à vous tenir tête suite aux propos horribles que vous avez tenu sur le brillantissime Ministre des affaires étrangères et de la communauté à l’étranger de la République Algérienne. Avec quelques jours de reculs, j’ai choisi de ne pas me taire. Car se taire serait une caution offerte à vos aboiements depuis votre mirador parisien. J’affirme donc prendre mes responsabilités, toutes mes responsabilités. Etudiants en droit jusqu’en 1996, j’appris que la déontologie journalistique rassemblait l’ensemble des normes auxquelles le journaliste devrait au minimum s’astreindre. Parmi elles, on retrouve la vérité, la rigueur, l’exactitude, l’équité, l’imputabilité et la rectitude morale. Ce quatrième pouvoir qui fait suite aux trois pouvoirs classiques (pouvoir législatif, exécutif et judiciaire) semblerait vous greffer des ailes de libertés sans limites dans vos diatribes. Or, probablement que vous auriez fait l’impasse de l’existence du cinquième pouvoir qui lui saura vous condamner par contumace : c’est l’opinion publique de notre cher et grand pays. Hélas, vous écouter le 25 aout 2021 ne me permis pas de vous qualifier tellement vous êtes odieux, sale, immonde… même dans la bêtise humaine, vous avez réussi à vous auto-offrir le podium des hors catégorie…..donc inclassable dans l’ignominie. En honorable correspondant, serviteur de vos maîtres et des forces ennemies à notre cher pays, j’aurai pu comprendre que vous puissiez critiquer avec tact et déférence un passage qui vous aurez probablement déplu de la conférence de presse aminée au Centre International des Conférences à Alger le 24.08.2021 par le Ministre des affaires étrangères de la République Algérienne Démocratique et Populaire. Mais de là à vous aveugler jusqu’à la déraison pour l’insulter personnellement, violemment, atrocement, brutalement jusque dans les profondeurs de sa filiation et de ses origines, devient, pour le commun des mortels, surréaliste pour un « journaliste », que dis-je un vulgaire valet. Que vous ayez des comptes à régler avec votre pays, je pourrais le comprendre même depuis votre misérable clandestinité. Que vous ressentiez le besoin vital de divertir votre esprit d’enfant gâté en jetant l’opprobre sur le sphère politique nationale, je peux encore l’admettre même depuis votre misérable clandestinité. Que vous vomissiez votre venin sur des personnalités publiques de votre pays, je voudrais bien associer votre comportement au sens que vous accordez à la liberté d’expression, même depuis votre misérable clandestinité. En fait, j’ai fini par admettre que vous êtes un nain, un traitre caché derrière un écran se considérant protégé ad vitam aeternam par le principe du droit d’asile cher aux philosophes des lumières : Voltaire, Rousseau et de Montesquieu. Quel est le but de votre combat s’il n’a pas de sens, s’il n’a pas d’éthique, s’il n’a pas d’honneur ? Connaissez-vous Monsieur LAMAMRA ? A quel point vous aurait-il tant blessé dans son intervention pour déclencher en vous une frustration male cachée et qui a vraisemblablement détruit tous vos sens du discernement ? Pourquoi tenter de l’atteindre aussi violemment ? Aussi sauvagement ? Avec un tel déchainement ? Lui, son pays, ses défunts parents, sa famille, ses amis, ses collègues, ses collaborateurs ? Au fait, quel est votre réel statut ? Refugié ? Citoyen étranger ? Mercenaire au service des Royaumes ? Apatride ? Malade mental en déshérence ? Le petit prince de Saint Exupéry perdu sur son astéroïde B612 ? En réalité, vous n’êtes que votre propre cauchemar….. Je vous l’affirme, je vous le signe, Ramtane Lamamra est mon ami et ce, depuis 23 longues et belles années de forte amitié. Pas une ombre n’a perturbé notre pacte ni notre parcours commun. De Washington à Alger, en passant par Viennes, Lisbonne ou Addis Abbeba, ministre d’État ou serviteur de la République, Haut représentant ou citoyen du monde, notre amitié se singularise par le principe du caractère inébranlable. Accuser Ramtane Lamamra se servir un gang (isaba) ou un clan serait commettre une grossière maladresse de votre part sachant que vous dévoriez l’actualité de votre pays à pleine dents depuis votre triste paradis parisien. Maladresse, méconnaissance ou désinformation volontaire, l’on devrait vous décorer de la légion des plus grands traitres de la planète en prenant une juste petite place dans le livre de Philippe Valode (les plus grands traitres de l’Histoire). Ramtane Lamamra est un homme exceptionnellement compétant, un ténor de la diplomatie internationale, sage et hautement instruit. Un homme propre, honnête et grand patriote. Voici ce qui le caractérise et voici les valeurs qu’il m’a enseignés depuis notre première rencontre en juillet 1998 à Washigton alors que 21 longues années nous séparent en âge. C’est vous dire toute la modestie de cet homme avec lequel le feeling a su nous unir à ce jour. J’avais l’âge que pourrait avoir un fils, il me considéra comme citoyen Algérien, comme un coreligionnaire, comme un homme tout court. Je ne crois pas utile de rappeler que son nom brille sur toute la planète terre en sa qualité de grand diplomate, homme de conviction et homme de paix. Ceci étant précisé, en 2019, pour rappel et pour la conscience collective Ramtane Lamamra n’est pas revenu aux commandes pour servir quiconque et encore moins pour supporter un 5eme mandat comme certains de ses détracteurs le laissent entendre. Non monsieur !!! Et là, j’aborde un sujet que je maitrise pour avoir eu le privilège d’avoir été témoin à cette époque. J’ajoute, à l’attention de ses médisants, que Ramtane Lamamra a refusé par 3 fois la proposition du poste de Premier Ministre. Il n’avait qu’un seul objectif urgent, celui de servir sa patrie après avoir renoncé à ses fonctions internationales auprès des Nations Unis et de l’Union Africaine pour accorder la priorité au peuple d’Algérie « laissez-moi faire ce que je maitrise le mieux…la diplomatie » murmurait-il si tendrement. C’est au nom du peuple Algérien et de ses intérêts suprêmes qu’il s’envola pour rassurer les capitales du monde en leur enjoignant que l’Algérie ne deviendra pas une scène de guerre ou un spectacle d’apocalypse tel que nous pourrions le craindre pour l’Afghanistan aujourd’hui. Son avion déchirait les cieux pour se poser, puis repartir prêcher la belle parole et éviter ainsi à son pays l’isolement craindre pour l’Afghanistan aujourd’hui. Son avion déchirait les cieux pour se poser, puis repartir prêcher la belle parole et éviter ainsi à son pays l’isolement que nous avions connu à la fin des années 80. Il remplit son rôle de grand diplomate rassurant que le peuple Algérien est un peuple émancipé, un peuple pacifique, un peuple fier et jaloux de son histoire. Bref un peuple valeureux qui refuse de se mettre à genou. Non Monsieur Aboud, Lamamra joue dans la cour des grands et vous, dans celle des nains. Il ne fut en rien assimilé à un directeur de campagne électorale avec laquelle il n’avait absolument aucun lien. Mais aucun lien. D’ailleurs, il démissionna dans la foulée des évènements de l’année 2019 pour ne pas avoir à trahir la volonté populaire à cette époque précisément. Son seul ancrage, sa seule passion; c’est sauver l’Algérie. Qui pourrait mieux que lui la représenter aujourd’hui alors que notre patrie est en danger, voir menacée de toute part? Oui Monsieur Aboud, contrairement à Ramtane Lamamra, vous n’êtes porteur d’aucune valeur ajoutée au pays, sinon de le déshonorer ! En 2021, Ramtane Lamamra a accepté de revenir aux commandes de la diplomatie Algérienne en raison d’un besoin urgent, que dis-je, vital pour redonner du pep’s et de nouvelles couleurs à une fonction politique fondamentale en lien directe avec la sécurité nationale. Il a encore une fois répondu présent à son pays comme tous les hommes de bonne volonté qui veillent de jour comme de nuit à en assurer sa stabilité qui nous manque tant. Pour sa partie, il renonça aux prestiges médiatiques et privilèges matériels qui lui sont accordés par les instances internationales dans le cadre de ses fonctions Son leitmotiv, l’Algérie avant tout comme le chérissait le Président Boudiaf, que Dieu ait son âme. Notre patrie traverse une tempête singulière certes. Le devoir nous commande de rester soudé autour de l’emblème national, de préserver sa souveraineté quoiqu’il en coûte, de veiller à sa sécurité aux frontières, son ancrage régional bref sa dignité. Nous le devons à nos martyrs tout en regardant devant. Proche et fidèle à mon grand frère Ramtane Lamamra, je puis vous confirmer que sa conscience ne pouvait lui permettre de rester insensible au déroulé des événements autour de son pays, demeurer en retrait ou feindre le silencieux face aux macabres plans destructeurs qui se profilent contre le peuple Algérien avec la complicité active de vil mercenaire de votre acabi. Vos dés sont jetés. Un jour ou l’autre vous allez devoir établir le bilan de votre comportement envers votre pays, vous devrez alors vous rendre des comptes à vous-même, un face-à-face exceptionnellement douloureux avec l’histoire, avec la réalité, avec l’actualité. C’est alors que l’heure de vérité sonnera pour que vos enfants, votre famille, vos amis si tentés qu’il vous en reste encore et vos auditeurs découvriront le piètre personnage que vous êtes, le diable, le petit serviteur de puissances étrangères… le plus grand traitre devant l’éternel que vous êtes. Finalement, la nature vous aura bien gâté. Quant à moi, j’aurai le privilège, non que dis-je, l’outrecuidance de twister les mots à mes deux garçons s’il fallait les twister. Simplement pour leur conter que le sang des martyrs ne sèche pas aussi vite en entrant dans l’histoire, leur dire combien je suis fier de mon pays, fier de ce qu’il a fait de moi, fier de mon combat que je lui dois et fier de le servir de l’intérieur. Fier aussi d’avoir comme ami Ramtane Lamamra avec lequel je me cultive et je m’élève, avec lequel je savoure et déguste les dimensions de la connaissance et avec lequel la philosophie du patriotisme distille tant d’espoir. C’est là un postulat de tous nos débats. Une règle d’or que vous ne pouvez comprendre. Monsieur Aboud, je suis persuadé que j’ai choisi le meilleur et vous le pire. Moi, mon pays et ses hommes, vous la félonie et ses relais. Quand la félonie nous tient, elle ronge, elle ronge, elle ronge….qui sème le vent récolte la tempête.
Vive l’Algérie libre et indépendante.
Mohamed Arezki Aberkane Industriel.
Pdg groupe Sogemetal
août 30, 2021
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